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Le module (gnu services networking)
fournit des services pour
configurer les interfaces réseaux.
C’est le type de services qui lance dhcp, un client DHC (protocole de
configuration d’hôte dynamique) sur toutes les interfaces réseau
non-loopback. Sa valeur est le paquet du client DHCP à utiliser,
isc-dhcp
par défaut.
Ce type définie un service qui lance un démon DHCP. Pour créer un service
de ce type, vous devez appliquer un objet <dhcpd-configuration>
. Par
exemple :
(service dhcpd-service-type
(dhcpd-configuration
(config-file (local-file "my-dhcpd.conf"))
(interfaces '("enp0s25"))))
package
(par défaut : isc-dhcp
)Le paquet qui fournit le démon DHCP. ce paquet doit fournir le démon sbin/dhcpd relativement à son répertoire de sortie. Le paquet par défaut est le serveur DHCP d’ISC
config-file
(par défaut : #f
)Le fichier de configuration à utiliser. Il est requis. Il sera passé à
dhcpd
via son option -cf
. La valeur peut être n’importe quel
objet « simili-fichier » (voir file-like objects). Voir
man dhcpd.conf
pour des détails sur la syntaxe du fichier de
configuration.
version
(par défaut : "4"
)La version de DHCP à utiliser. Le serveur DHCP d’ISC supporte les valeur «
4 », « 6 » et « 4o6 ». Elles correspondent aux options -4
, -6
et -4o6
du programme dhcpd
. Voir man dhcpd
pour plus
de détails.
run-directory
(par défaut : "/run/dhcpd"
)Le répertoire d’exécution à utiliser. Au moment de l’activation du service, ce répertoire sera créé s’il n’existe pas.
pid-file
(par défaut : "/run/dhcpd/dhcpd.pid"
)Le fichier de PID à utiliser. Cela correspond à l’option -pf
de
dhcpd
. Voir man dhcpd
pour plus de détails.
interfaces
(par défaut : '()
)Les noms des interfaces réseaux sur lesquelles dhcpd écoute. Si cette liste
n’est pas vide, alors ses éléments (qui doivent être des chaînes de
caractères) seront ajoutés à l’invocation de dhcpd
lors du démarrage
du démon. Il n’est pas forcément nécessaire de spécifier des interfaces ici
; voir man dhcpd
pour plus de détails.
C’est le type des interfaces réseaux configurés statiquement.
'()
] [#:requirement '(udev)
]Renvoie un service qui démarre interface avec l’adresse ip. Si netmask est vrai, il sera utilisé comme masque de sous-réseau. Si gateway est vrai, ce doit être une chaîne de caractères qui spécifie la passerelle par défaut du réseau. requirement peut être utilisé pour déclarer une dépendance sur un autre service avant de configurer l’interface.
On peut appeler cette procédure plusieurs fois, une fois par interface
réseau qui nous intéresse. Dans les coulisses, elle étend
static-networking-service-type
avec les interfaces réseaux
supplémentaires à gérer.
Par exemple :
(static-networking-service "eno1" "192.168.1.82"
#:gateway "192.168.1.2"
#:name-servers '("192.168.1.2"))
Renvoie un service qui lance Wicd, un démon de gestion réseau qui cherche à simplifier la configuration des réseaux filaires et sans fil.
Ce service ajoute le paquet wicd au profil global, pour fournir des
commandes pour interagir avec le démon et configurer le réseau :
wicd-client
, une interface graphique et les interfaces
utilisateurs wicd-cli
et wicd-curses
.
C’est le type de service pour le service
ModemManager. La
valeur de ce type de service est un enregistrement
modem-manager-configuration
.
Ce service fait partie de %desktop-services
(voir Services de bureaux).
Type de donnée représentant la configuration de ModemManager.
modem-manager
(par défaut : modem-manager
)Le paquet ModemManager à utiliser.
C’est le type de service pour le service
USB_ModeSwitch. La
valeur pour ce type de service est un enregistrement
usb-modeswitch-configuration
.
Lorsqu’ils sont branchés, certains modems USB (et autres dispositifs USB) se présentent initialement comme un support de stockage en lecture seule et non comme un modem. Ils doivent être modeswitched avant d’être utilisables. Le service de type USB_ModeSwitch installe des règles udev pour commuter automatiquement les modes de ces dispositifs lorsqu’ils sont branchés.
Ce service fait partie de %desktop-services
(voir Services de bureaux).
Type de données représentant la configuration du USB_ModeSwitch.
usb-modeswitch
(par défaut: usb-modeswitch
)Le paquet USB_ModeSwitch fournit les binaires pour la commutation de modes.
usb-modeswitch-data
(par défaut : usb-modeswitch-data
)Le paquet fournissant les données du dispositif et le fichier de règles udev utilisé par USB_ModeSwitch.
config-file
(par défaut : #~(string-append #$usb-modeswitch:dispatcher "/etc/usb_modeswitch.conf")
)Le fichier de configuration à utiliser pour le répartiteur USB_ModeSwitch.
Par défaut, le fichier de configuration livré avec USB_ModeSwitch est
utilisé, ce qui désactive la connexion au /var/log parmi d’autres
paramètres par défaut. S’il est défini sur #f
, aucun fichier de
configuration n’est utilisé.
C’est le type de service pour le service
NetworkManager. La
valeur pour ce type de service est un enregistrement
network-manager-configuration
.
Ce service fait partie de %desktop-services
(voir Services de bureaux).
Type de données représentant la configuration de NetworkManager.
network-manager
(par défaut : network-manager
)Le paquet NetworkManager à utiliser.
dns
(par défaut : "default"
)Mode de gestion pour le DNS, qui affecte la manière dont NetworkManager
utilise le fichier de configuration resolv.conf
NetworkManager mettra à jour resolv.conf
pour refléter les serveurs
de noms fournis par les connexions actives.
NetworkManager exécutera dnsmasq
comme un serveur de noms local en
cache, en utilisant une configuration transfert conditionnel si vous
êtes connecté à un VPN, puis mettra à jour resolv.conf
pour pointer
vers le serveur de noms local.
Avec ce paramètre, vous pouvez partager votre connexion réseau. Par
exemple, lorsque vous souhaitez partager votre connexion réseau avec un
autre ordinateur portable via un câble Ethernet, vous pouvez ouvrir
nm-connection-editor
et configurer la méthode de connexion câblée
pour IPv4 et IPv6 de manière à ce qu’elle soit "partagée avec d’autres
ordinateurs" et à ce que la connexion soit rétablie (ou redémarrée).
Vous pouvez également établir une connexion hôte-invité aux VM QEMU
(voir Installer Guix dans une VM). Avec une connexion d’hôte à invité, vous
pouvez par exemple : accéder à un serveur Web fonctionnant sur la VM
(voir Services web) à partir d’un navigateur Web sur votre système hôte,
ou vous connecter à la VM via SSH (voir openssh-service-type
). Pour établir une connexion entre hôtes,
exécutez cette commande une fois :
nmcli connection add type tun \ connection.interface-name tap0 \ tun.mode tap tun.owner $(id -u) \ ipv4.method shared \ ipv4.addresses 172.28.112.1/24
Ensuite, chaque fois que vous lancez votre VM QEMU (voir Lancer Guix dans une VM), passez -nic tap,ifname=tap0,script=no,downscript=no à
qemu-system-...
.
NetworkManager ne modifiera pas resolv.conf
.
vpn-plugins
(par défaut : '()
)C’est la liste des greffons disponibles pour les VPN (réseaux privés
virtuels). Un exemple est le paquet network-manager-openvpn
, qui
permet à NetworkManager de gérer des VPN via OpenVPN.
C’est le type de service pour lancer Connman, un gestionnaire de connexions réseaux.
Sa valeur doit être un enregistrement connman-configuration
comme
dans cet exemple :
(service connman-service-type
(connman-configuration
(disable-vpn? #t)))
Voir plus bas pour des détails sur connman-configuration
.
Type de données représentant la configuration de connman.
connman
(par défaut : connman)Le paquet connman à utiliser.
disable-vpn?
(par défaut : #f
)Lorsque la valeur est vraie, désactive le greffon vpn de connman.
C’est le type du service qui lanceWPA supplicant, un démon d’authentification requis pour s’authentifier sur des WiFi chiffrés ou des réseaux ethernet.
Type données qui représente la configuration de WPA Supplicant.
Il prend les paramètres suivants :
wpa-supplicant
(par défaut : wpa-supplicant
)Le paquet WPA Supplicant à utiliser.
requirement
(par défaut : '(user-processes loopback syslogd)
Liste des services qui doivent être démarrés avant le début de WPA Supplicant.
dbus?
(par défaut : #t
)Indique s’il faut écouter les requêtes sur D-Bus.
pid-file
(par défaut : "/var/run/wpa_supplicant.pid"
)Où stocker votre fichier de PID.
interface
(par défaut : #f
)Si une valeur est indiquée, elle doit spécifier le nom d’une interface réseau que WPA supplicant contrôlera.
config-file
(par défaut : #f
)Fichier de configuration facultatif à utiliser.
extra-options
(par défaut : '()
)Liste d’arguments de la ligne de commande supplémentaires à passer au démon.
Il s’agit du type de service permettant d’exécuter le démon
hostapd pour mettre en place des points
d’accès et des serveurs d’authentification WiFi (IEEE 802.11). Sa valeur
associée doit être un hostapd-configuration
comme indiqué ci-dessous
:
;; Use wlan1 to run the access point for "My Network". (service hostapd-service-type (hostapd-configuration (interface "wlan1") (ssid "My Network") (channel 12)))
Ce type de données représente la configuration du service hostapd, avec les champs suivants :
package
(par défaut : hostapd
)Le paquet hostapd à utiliser.
interface
(par défaut : "wlan0"
)L’interface réseau pour faire fonctionner le point d’accès WiFi.
ssid
Le SSID (identifiant de l’ensemble de services), une chaîne de caractères qui identifie ce réseau.
broadcast-ssid?
(par défaut : #t
)La diffusion de ce SSID.
channel
(par défaut : #f
)Le canal WiFi à utiliser.
drivers
(par défaut : "nl80211"
)Le type d’interface du conducteur. "nl80211"
est utilisé avec tous
les pilotes mac80211 de Linux. Utilisez "none"
si vous construisez
hostapd comme un serveur RADIUS autonome qui ne # contrôle aucun pilote
filaire/filaire.
extra-settings
(par défaut : ""
)Paramètres supplémentaires à ajouter tels quels au fichier de configuration de hostapd. Voir https://w1.fi/cgit/hostap/plain/hostapd/hostapd.conf pour la référence du fichier de configuration.
C’est le type de service permettant de simuler la mise en réseau WiFi, qui
peut être utile dans les machines virtuelles à des fins de test. Le service
charge le noyau Linux
module mac80211_hwsim
et lance hostapd pour créer un pseudo réseau
WiFi qui peut être vu sur wlan0
, par défaut.
La valeur du service est un enregistrement hostapd-configuration
.
C’est le type de service pour mettre en place une configuration iptables. iptables est un outil de filtrage de paquets pris en charge par le noyau Linux. Ce service prend en charge la configuration d’iptable pour IPv4 et IPv6. Un exemple de configuration simple, qui rejette les connexions entrantes sauf celles sur le port 22 est présenté ci-dessous.
(service iptables-service-type
(iptables-configuration
(ipv4-rules (plain-file "iptables.rules" "*filter
:INPUT ACCEPT
:FORWARD ACCEPT
:OUTPUT ACCEPT
-A INPUT -p tcp --dport 22 -j ACCEPT
-A INPUT -j REJECT --reject-with icmp-port-unreachable
COMMIT
"))
(ipv6-rules (plain-file "ip6tables.rules" "*filter
:INPUT ACCEPT
:FORWARD ACCEPT
:OUTPUT ACCEPT
-A INPUT -p tcp --dport 22 -j ACCEPT
-A INPUT -j REJECT --reject-with icmp6-port-unreachable
COMMIT
"))))
Type de données représentant la configuration d’iptables.
iptables
(par défaut : iptables
)Le paquet iptables qui fournit iptables-restore
et
ip6tables-restore
.
ipv4-rules
(par défaut : %iptables-accept-all-rules
)Les règles iptables à utiliser. Elles seront passées à
iptables-restore
. Cela peut être un objet « simili-fichier »
(voir file-like objects).
ipv6-rules
(par défaut : %iptables-accept-all-rules
)Les règles iptables à utiliser. Elles seront passées à
ip6tables-restore
. Cela peut être un objet « simili-fichier »
(voir file-like objects).
C’est le type de service permettant de mettre en place une configuration
nftables. nftables est un projet de netfilter qui vise à remplacer le cadre
existant iptables, ip6tables, arptables et ebtables. Il fournit un nouveau
cadre de filtrage de paquets, un nouvel utilitaire d’espace utilisateur·rice
nft
, et une couche de compatibilité pour iptables. Ce service est
fourni avec un jeu de règles par défaut %default-nftables-ruleset
qui
rejette toutes les connexions entrantes sauf celles vers le port ssh 22.
Pour l’utiliser, il suffit d’écrire :
Type de données représentant la configuration de nftables.
package
(par défaut : nftables
)Le paquet nftables qui fournit nft
.
ruleset
(par défaut : %default-nftables-ruleset
)Les règles d’utilisation de nftables. Il peut s’agir de n’importe quel objet « de type fichier » (voir objets de type fichier).
C’est le type de service qui lance le démon Network Time Protocol (NTP), ntpd
. Le démon gardera l’horloge
système synchronisée avec celle des serveurs NTP spécifiés.
La valeur de ce service est un objet ntpd-configuration
, décrit
ci-dessous.
C’est le type de données représentant la configuration du service NTP.
servers
(par défaut : %ntp-servers
)C’est la liste des serveurs (enregistrements <ntp-server>
) avec
lesquels ntpd
sera synchronisé. Voir la définition du type de
données ntp-server
ci-dessous.
allow-large-adjustment?
(par défaut : #t
)Détermine si ntpd
peut faire un ajustement initial de plus de
1 000 secondes.
ntp
(par défaut : ntp
)Le paquet NTP à utiliser.
Liste de noms d’hôtes à utiliser comme serveurs NTP par défaut. Ce sont les serveurs du projet NTP Pool
Le type de données représentant la configuration d’un serveur NTP.
type
(par défaut : 'server
)Le type de serveur NTP, indiqué par un symbole. L’un des types suivants :
'pool
, 'server
, 'peer
, 'broadcast
ou
'manycastclient
.
adresse
L’adresse du serveur, comme une chaîne de caractères.
options
Les options NTPD à utiliser avec ce serveur spécifique, données sous la forme d’une liste de noms d’options et/ou de tuples de noms et de valeurs d’options. L’exemple suivant définit un serveur à utiliser avec les options iburst et prefer, ainsi que version 3 et un temps maxpoll de 16 secondes.
(ntp-server (type 'server) (address "some.ntp.server.org") (options `(iburst (version 3) (maxpoll 16) prefer))))
Lance le démon NTP ntpd
, implémenté par
OpenNTPD. Le démon gardera l’horloge
système synchronisée avec celle des serveurs donnés.
(service
openntpd-service-type
(openntpd-configuration
(listen-on '("127.0.0.1" "::1"))
(sensor '("udcf0 correction 70000"))
(constraint-from '("www.gnu.org"))
(constraints-from '("https://www.google.com/"))
(allow-large-adjustment? #t)))
Cette variable est une liste des adresses de serveurs définies dans
%ntp-servers
.
openntpd
(par défaut : (file-append openntpd "/sbin/ntpd")
)L’exécutable openntpd à utiliser.
listen-on
(par défaut : '("127.0.0.1" "::1")
)Une liste d’adresses IP locales ou de noms d’hôtes que devrait écouter le démon ntpd.
query-from
(par défaut : '()
)Une liste d’adresses IP que le démon devrait utiliser pour les requêtes sortantes.
sensor
(par défaut : '()
)Spécifie une liste de senseurs de différences de temps que ntpd devrait
utiliser. ntpd
écoutera chaque senseur qui existe et ignorera ceux
qui n’existent pas. Voir la
documentation en amont pour plus d’informations.
server
(par défaut : '()
)Spécifie une liste d’adresses IP ou de noms d’hôtes de serveurs NTP avec lesquels se synchroniser.
servers
(par défaut : %openntp-servers
)Spécifie une liste d’adresses IP ou de noms d’hôtes de banques de serveurs NTP avec lesquelles se synchroniser.
constraint-from
(par défaut : '()
)ntpd
peut être configuré pour demander la « Date » à des serveurs
HTTPS de confiance via TLS. Cette information de temps n’est pas utilisée
pour sa précision mais agit comme une contrainte authentifiée, ce qui réduit
l’impact d’une attaque par l’homme du milieu sur le protocole NTP non
authentifié. Spécifie une liste d’URL, d’adresses IP ou de noms d’hôtes de
serveurs HTTPS qui fournissent cette contrainte.
constraints-from
(par défaut : '()
)Comme pour constraint-from
, spécifie une liste d’URL, d’adresses IP
ou de noms d’hôtes de serveurs HTTPS qui fournissent une contrainte. Si les
noms d’hôtes sont résolus en plusieurs adresses IP, ntpd
calculera la
contrainte médiane.
allow-large-adjustment?
(par défaut : #f
)Détermine si ntpd
peut faire un ajustement initial de plus de 180
secondes.
Ce service lance le démon inetd
(voir inetd invocation dans GNU Inetutils). inetd
écoute des connexions sur des
sockets internet et démarre le programme spécifié uniquement lorsqu’une
connexion arrive sur l’un de ces sockets.
La valeur de ce service est un objet inetd-configuration
. L’exemple
suivant configure le démon inetd
pour qu’il fournisse le service
echo
, ainsi qu’un service smtp qui transfère le trafic smtp par
ssh à un serveur smtp-server
derrière une passerelle hostname
:
(service
inetd-service-type
(inetd-configuration
(entries (list
(inetd-entry
(name "echo")
(socket-type 'stream)
(protocol "tcp")
(wait? #f)
(user "root"))
(inetd-entry
(node "127.0.0.1")
(name "smtp")
(socket-type 'stream)
(protocol "tcp")
(wait? #f)
(user "root")
(program (file-append openssh "/bin/ssh"))
(arguments
'("ssh" "-qT" "-i" "/chemin/vers/ssh_key"
"-W" "smtp-server:25" "user@hostname")))))))
Voir plus bas pour plus de détails sur inetd-configuration
.
Type de données représentant la configuration de inetd
.
program
(par défaut : (file-append inetutils "/libexec/inetd")
)L’exécutable inetd
à utiliser.
entries
(par défaut : '()
)Une liste d’entrées de services inetd
. Chaque entrée devrait être
crée avec le constructeur inetd-entry
.
Type de données représentant une entrée dans la configuration
d’inetd
. Chaque entrée correspond à un socket sur lequel
inetd
écoutera les requêtes.
node
(par défaut : #f
)Chaîne de caractères facultative, un liste d’adresses locales séparées par
des virgules que inetd
devrait utiliser pour écouter ce service.
Voir Configuration file dans GNU Inetutils pour une description
complète de toutes les options.
name
Une chaîne de caractères dont le nom doit correspondre à une entrée de
/etc/services
.
socket-type
Un symbole parmi 'stream
, 'dgram
, 'raw
, 'rdm
ou
'seqpacket
.
protocol
Une chaîne de caractères qui doit correspondre à une entrée dans
/etc/protocols
.
wait?
(par défaut : #t
)Indique si inetd
devrait attendre que le serveur ait quitté avant
d’écouter de nouvelles demandes de service.
user
Une chaîne de caractères contenant le nom d’utilisateur (et éventuellement
de groupe) de l’utilisateur en tant que lequel le serveur devrait tourner.
Le nom du groupe peut être spécifié comme un suffixe, séparé par un
deux-points ou un point, c.-à-d. "utilisateur"
,
"utilisateur:groupe"
ou "utilisateur.groupe"
.
program
(par défaut : "internal"
)Le programme du serveur qui servira les requêtes, ou "internal"
si
inetd
devrait utiliser un service inclus.
arguments
(par défaut : '()
)Une liste de chaînes de caractères ou d’objets simili-fichiers qui sont les
arguments du programme du serveur, en commençant par le zéroième argument,
c.-à-d. le nom du programme lui-même. Pour les services internes à
inetd
, cette entrée doit être '()
ou '("internal")
.
Voir Configuration file dans GNU Inetutils pour trouver une discussion plus détaillée de chaque champ de configuration.
C’est le type pour un service qui lance le démon de navigation anonyme
Tor. Le service est configuré avec un
enregistrement <tor-configuration>
. Par défaut, le démon Tor est
lancé en tant qu’utilisateur non privilégié tor
, membre du groupe
tor
.
tor
(par défaut : tor
)Le paquet qui fournit le démon Tor. Ce paquet doit fournir le démon bin/tor relativement à son répertoire de sortie. Le paquet par défaut est le l’implémentation du projet Tor.
config-file
(par défaut : (plain-file "empty" "")
)Le fichier de configuration à utiliser. Il sera ajouté au fichier de
configuration par défaut, et le fichier de configuration final sera passé à
tor
via son option -f
. Cela peut être n’importe quel objet «
simili-fichier » (voir file-like objects). Voir man
tor
pour plus de détails sur la syntaxe du fichier de configuration.
hidden-services
(par défaut : '()
)La liste des enregistrements <hidden-service>
à utiliser. Pour
n’importe quel service cache que vous ajoutez à cette liste, la
configuration appropriée pour activer le service caché sera automatiquement
ajouté au fichier de configuration par défaut. Vous pouvez aussi créer des
enregistrements <hidden-service>
avec la procédure
tor-hidden-service
décrite plus bas.
socks-socket-type
(par défaut : 'tcp
)Le type de socket par défaut que Tor devrait utiliser pour les socket
SOCKS. Cela doit être soit 'tcp
soit 'unix
. S’il s’agit de
'tcp
, alors Tor écoutera pas défaut sur le port TCP 9050 sur
l’interface de boucle locale (c.-à-d. localhost). S’il s’agit de
'unix
, Tor écoutera sur le socket UNIX domain
/var/run/tor/socks-sock, qui sera inscriptible pour les membres du
groupe tor
.
Si vous voulez personnaliser le socket SOCKS plus avant, laissez
socks-socket-type
à sa valeur par défaut de 'tcp
et utilisez
config-file
pour remplacer les valeurs par défaut avec votre propre
option SocksPort
.
Définie un service caché pour Tor nommé name qui implémente mapping. mapping est une liste de paires de port et d’hôte, comme dans :
'((22 "127.0.0.1:22") (80 "127.0.0.1:8080"))
Dans cet exemple, le port 22 du service caché est relié au port local 22 et le port 80 est relié au port local 8080.
Cela crée un répertoire /var/lib/tor/hidden-services/name où le
fichier hostname contient le nom d’hôte .onion
pour le service
caché.
Voir the Tor project’s documentation pour trouver plus d’information.
Le module (gnu services rsync)
fournit les services suivant :
Vous pourriez vouloir un démon rsync si vous voulez que des fichiers soient disponibles pour que n’importe qui (ou juste vous) puisse télécharger des fichiers existants ou en téléverser des nouveaux.
C’est le type pour le démon rsync. La valeur
de ce service est un enregistrement rsync-configuration
comme dans
cet exemple :
Voir plus pas pour trouver des détails à propos de
rsync-configuration
.
Type de données représentant la configuration de rsync-service
.
package
(par défaut : rsync)Le paquet rsync
à utiliser.
port-number
(par défaut : 873
)Le port TCP sur lequel rsync
écoute les connexions entrantes. Si
le port est inférieur à 1024
, rsync
doit être démarré en
tant qu’utilisateur et groupe root
.
pid-file
(par défaut : "/var/run/rsyncd/rsyncd.pid"
)Nom du fichier où rsync
écrit son PID.
lock-file
(par défaut : "/var/run/rsyncd/rsyncd.lock"
)Nom du fichier où rsync
écrit son fichier de verrouillage.
log-file
(par défaut : "/var/log/rsyncd.log"
)Nom du fichier où rsync
écrit son fichier de journal.
use-chroot?
(par défaut : #t)S’il faut utiliser un chroot pour le répertoire partagé de rsync
.
share-path
(par défaut : /srv/rsync)Emplacement du répertoire partagé de rsync
.
share-comment
(par défaut : "Rsync share"
)Commentaire du répertoire partagé de rsync
.
read-only?
(par défaut : #f)Permission en écriture sur le répertoire partagé.
timeout
(par défaut : 300
)Délai d’attente d’entrée-sortie en secondes.
user
(par défaut : "root")Propriétaire du processus rsync
.
group
(par défaut : "root")Groupe du processus rsync
.
uid
(par défaut : "rsyncd")Nom d’utilisateur ou ID utilisateur en tant que lequel les transferts de
fichiers ont lieu si le démon a été lancé en root
.
gid
(par défaut : "rsyncd")Nom du groupe ou ID du groupe qui sera utilisé lors de l’accès au module.
En plus, (gnu services ssh)
fournit les services suivant.
Lance le programme lshd
de lsh pour écouter sur le port
port-number. host-key doit désigner un fichier contenant la
clef d’hôte et ne doit être lisible que par root.
Lorsque daemonic? est vrai, lshd
se détachera du terminal
qui le contrôle et enregistrera ses journaux avec syslogd, à moins que
syslog-output? ne soit faux. Évidemment, cela rend aussi lsh-service
dépendant de l’existence d’un service syslogd. Lorsque pid-file? est
vrai, lshd
écrit son PID dans le fichier pid-file.
Lorsque initialize? est vrai, la graine et la clef d’hôte seront créés lors de l’activation du service s’ils n’existent pas encore. Cela peut prendre du temps et demande une interaction.
Lorsque initialize? est faux, c’est à l’utilisateur d’initialiser le générateur d’aléatoire (voir lsh-make-seed dans LSH Manual) et de crée une paire de clefs dont la clef privée sera stockée dans le fichier host-key (voir lshd basics dans LSH Manual).
Lorsque interfaces est vide, lshd écoute les connexions sur toutes les interfaces réseau ; autrement, interfaces doit être une liste de noms d’hôtes et d’adresses.
allow-empty-passwords? spécifie si les connexions avec des mots de passes vides sont acceptés et root-login? spécifie si la connexion en root est acceptée.
Les autres options devraient être évidentes.
C’est le type pour le démon ssh OpenSSH,
sshd
. Sa valeur doit être un enregistrement
openssh-configuration
comme dans cet exemple :
(service openssh-service-type
(openssh-configuration
(x11-forwarding? #t)
(permit-root-login 'without-password)
(authorized-keys
`(("alice" ,(local-file "alice.pub"))
("bob" ,(local-file "bob.pub"))))))
Voir plus bas pour trouver des détails sur openssh-configuration
.
Ce service peut être étendu avec des clefs autorisées supplémentaires, comme dans cet exemple :
(service-extension openssh-service-type
(const `(("charlie"
,(local-file "charlie.pub")))))
C’est l’enregistrement de la configuration de la commande sshd
d’OpenSSH.
openssh
(par défaut : openssh)Le paquet Openssh à utiliser.
pid-file
(par défaut : "/var/run/sshd.pid"
)Nom du fichier où sshd
écrit son PID.
port-number
(par défaut : 22
)Port TCP sur lequel sshd
écoute les connexions entrantes.
permit-root-login
(par défaut : #f
)Ce champ détermine si et quand autoriser les connexions en root. Si la
valeur est #f
, les connexions en root sont désactivées ; si la valeur
est #t
, elles sont autorisées. S’il s’agit du symbole
'without-password
, alors les connexions root sont autorisées mais pas
par une authentification par mot de passe.
allow-empty-passwords?
(par défaut : #f
)Lorsque la valeur est vraie, les utilisateurs avec un mot de passe vide peuvent se connecter. Sinon, ils ne peuvent pas.
password-authentication?
(par défaut : #t
)Lorsque la valeur est vraie, les utilisateurs peuvent se connecter avec leur mot de passe. Sinon, ils doivent utiliser une autre méthode d’authentification.
public-key-authentication?
(par défaut : #t
)Lorsque la valeur est vraie, les utilisateurs peuvent se connecter avec leur clef publique. Sinon, les utilisateurs doivent utiliser une autre méthode d’authentification.
Les clefs publiques autorisées sont stockées dans ~/.ssh/authorized_keys. Ce n’est utilisé que par le protocole version 2.
x11-forwarding?
(par défaut : #f
)Lorsque la valeur est vraie, le transfert de connexion du client graphique
X11 est activé — en d’autre termes, les options -X et -Y
de ssh
fonctionneront.
allow-agent-forwarding?
(par défaut : #t
)Indique s’il faut autoriser la redirection d’agent.
allow-tcp-forwarding?
(par défaut : #t
)Indique s’il faut autoriser la redirection TCP.
gateway-ports?
(par défaut : #f
)Indique s’il faut autoriser les ports de passerelle.
challenge-response-authentication?
(par défaut : #f
)Spécifie si l’authentification par défi est autorisée (p. ex. via PAM).
use-pam?
(par défaut : #t
)Active l’interface avec le module d’authentification greffable, PAM. Si la
valeur est #t
, cela activera l’authentification PAM avec
challenge-response-authentication?
et
password-authentication?
, en plus des modules de compte et de session
de PAM pour tous les types d’authentification.
Comme l’authentification par défi de PAM sert généralement un rôle
équivalent à l’authentification par mot de passe, vous devriez désactiver
soit challenge-response-authentication?
, soit
password-authentication?
.
print-last-log?
(par défaut : #t
)Spécifie si sshd
devrait afficher la date et l’heure de dernière
connexion des utilisateurs lorsqu’un utilisateur se connecte de manière
interactive.
subsystems
(par défaut : '(("sftp" "internal-sftp"))
)Configure les sous-systèmes externes (p. ex. le démon de transfert de fichiers).
C’est une liste de paires, composées chacune du nom du sous-système et d’une commande (avec éventuellement des arguments) à exécuter à la demande du sous-système.
La commande internal-sftp
met en œuvre un serveur SFTP en cours de
traitement. On peut aussi spécifier la commande sftp-server
:
(service openssh-service-type
(openssh-configuration
(subsystems
`(("sftp" ,(file-append openssh "/libexec/sftp-server"))))))
accepted-environment
(par défaut : '()
)Liste de chaînes de caractères qui décrivent les variables d’environnement qui peuvent être exportées.
Chaque chaîne a sa propre ligne. Voir l’option AcceptEnv
dans
man sshd_config
.
Cet exemple permet aux clients ssh d’exporter la variable COLORTERM
.
Elle est initialisée par les émulateurs de terminaux qui supportent les
couleurs. Vous pouvez l’utiliser dans votre fichier de ressource de votre
shell pour activer les couleurs sur la ligne de commande si cette variable
est initialisée.
(service openssh-service-type
(openssh-configuration
(accepted-environment '("COLORTERM"))))
authorized-keys
(par défaut : '()
)C’est la liste des clefs autorisées. Chaque élément de la liste est un nom d’utilisateur suivit d’un ou plusieurs objets simili-fichiers qui représentent les clefs publiques SSH. Par exemple :
(openssh-configuration
(authorized-keys
`(("rekado" ,(local-file "rekado.pub"))
("chris" ,(local-file "chris.pub"))
("root" ,(local-file "rekado.pub") ,(local-file "chris.pub")))))
enregistre les clefs publiques spécifiées pour les comptes rekado
,
chris
et root
.
Des clefs autorisées supplémentaires peuvent être spécifiées via
service-extension
.
Remarquez que cela n’interfère pas avec l’utilisation de ~/.ssh/authorized_keys.
log-level
(par défaut : 'info
)C’est le symbole qui spécifie le niveau de journalisation : quiet
,
fatal
, error
, info
, verbose
, debug
, etc.
Voir la page de manuel de sshd_config pour trouver la liste complète
des noms de niveaux.
extra-content
(par défaut : ""
)Ce champ peut être utilisé pour ajouter un texte arbitraire au fichier de configuration. C’est particulièrement utile pour des configurations élaborées qui ne pourraient pas être exprimées autrement. Cette configuration, par exemple, désactiverait les connexions en root, mais les permettrait depuis une adresse IP spécifique :
(openssh-configuration
(extra-content "\
Match Address 192.168.0.1
PermitRootLogin yes"))
Lance le démon SSH
Dropbear avec la configuration config donnée, un objet
<dropbear-configuration>
.
Par exemple, pour spécifier un service Dropbear qui écoute sur le port 1234,
ajoutez cet appel au champ services
de votre système d’exploitation :
(dropbear-service (dropbear-configuration
(port-number 1234)))
Ce type de données représente la configuration d’un démon SSH Dropbear.
dropbear
(par défaut : dropbear)Le paquet Dropbear à utiliser.
port-number
(par défaut : 22)Le port TCP sur lequel le démon attend des connexions entrantes.
syslog-output?
(par défaut : #t
)Indique s’il faut activer la sortie vers syslog.
pid-file
(par défaut : "/var/run/dropbear.pid"
)Nom du fichier de PID du démon.
root-login?
(par défaut : #f
)Indique s’il faut autoriser les connexions en root
.
allow-empty-passwords?
(par défaut : #f
)Indique s’il faut autoriser les mots de passes vides.
password-authentication?
(par défaut : #t
)Indique s’il faut autoriser l’authentification par mot de passe.
C’est le type du programme AutoSSH qui exécute une copie de ssh
et la surveille, en la
redémarrant si nécessaire si elle meurt ou arrête le trafic passant.
AutoSSH peut être exécuté manuellement à partir de la ligne de commande en
passant des arguments au binaire autossh
du paquet autossh
,
mais peut aussi être exécuté comme un service Guix. Ce dernier cas
d’utilisation est documenté ici.
AutoSSH peut être utilisé pour transférer le trafic local vers une machine distante en utilisant un tunnel SSH, et il respecte le ~/.ssh/config de l’utilisateur sous lequel il est exécuté.
Par exemple, pour spécifier un service exécutant autossh comme
utilisateur·rice pino
et transférant toutes les connexions locales au
port 8081
vers remote:8081
en utilisant un tunnel SSH, ajoutez
cet appel au champ services
du système d’exploitation :
(service autossh-service-type
(autossh-configuration
(user "pino")
(ssh-options (list "-T" "-N" "-L" "8081:localhost:8081" "remote.net"))))
Ce type de données représente la configuration du service AutoSSH.
user
(par défaut : "autossh"
)L’utilisateur·rice en tant que responsable du service AutoSSH. Cela suppose que l’utilisateur spécifié existe.
poll
(par défaut : 600
)Spécifie le temps de sondage de la connexion en secondes.
first-poll
(par défaut : #f
)Indique le nombre de secondes que l’AutoSSH attend avant le premier test de
connexion. Après ce premier test, le vote reprend au rythme défini dans
poll
. Lorsqu’il est défini à #f
, le premier sondage n’est pas
traité spécialement et utilisera également le sondage de connexion spécifié
dans poll
.
gate-time
(par défaut : 30
)Spécifie combien de secondes une connexion SSH doit être active avant qu’elle soit considérée comme réussie.
log-level
(par défaut : 1
)Le niveau du log, correspondant aux niveaux utilisés par syslog—donc
0
est le plus silencieux tandis que 7
est le plus bavard.
max-start
(par défaut : #f
)Le nombre maximum de fois que SSH peut être (re)démarré avant la sortie
d’AutoSSH. Lorsqu’il est défini sur #f
, aucun maximum n’est
configuré et AutoSSH peut redémarrer indéfiniment.
message
(par défaut : ""
)Le message à ajouter à celui de echo envoyé lors du test des connexions.
port
(par défaut : "0"
)Les ports utilisés pour la surveillance de la connexion. Lorsqu’il est
défini sur "0"
, la surveillance est désactivée. Lorsqu’il est défini
sur "n"
où n est un entier positif, les ports n et
n+1 sont utilisés pour surveiller la connexion, de sorte que le port
n est le port de surveillance de base et n+1
est le port
d’echo. Lorsqu’ils sont définis sur "n:m"
où n et
m sont des entiers positifs, les ports n et m sont
utilisés pour surveiller la connexion, de sorte que le port n est le
port de surveillance de base et m est le port d’echo.
ssh-options
(par défaut : '()
)La liste des arguments de la ligne de commande à passer à ssh
lorsqu’elle est exécutée. Les options -f et -M sont
réservées à AutoSSH et peuvent provoquer un comportement indéfini.
C’est le type du programme WebSSH
qui exécute un client web SSH. WebSSH peut être exécuté manuellement à
partir de la ligne de commande en passant des arguments au binaire
wssh
du paquet webssh
, mais il peut aussi être exécuté
comme un service Guix. Ce dernier cas d’utilisation est documenté ici.
Par exemple, pour spécifier un service exécutant WebSSH sur l’interface de
bouclage sur le port 8888
avec une politique de rejet avec une liste
des hôtes autorisés à se connecter, et NGINX comme reverse-proxy de ce
service écoutant la connexion HTTPS, ajouter cet appel au champ
services
du système d’exploitation :
(service webssh-service-type (webssh-configuration (address "127.0.0.1") (port 8888) (policy 'reject) (known-hosts '("localhost ecdsa-sha2-nistp256 AAAA…" "127.0.0.1 ecdsa-sha2-nistp256 AAAA…")))) (service nginx-service-type (nginx-configuration (server-blocks (list (nginx-server-configuration (inherit %webssh-configuration-nginx) (server-name '("webssh.example.com")) (listen '("443 ssl")) (ssl-certificate (letsencrypt-certificate "webssh.example.com")) (ssl-certificate-key (letsencrypt-key "webssh.example.com")) (locations (cons (nginx-location-configuration (uri "/.well-known") (body '("root /var/www;"))) (nginx-server-configuration-locations %webssh-configuration-nginx))))))))
Type de données représentant la configuration pour webssh-service
.
package
(par défaut : webssh)Le paquet webssh
à utiliser.
user-name
(par défaut : "webssh")Le nom ou l’identifiant de l’utilisateur·rice qui transfère le fichier vers et depuis ce module doit avoir lieu.
group-name
(par défaut : "webssh")Nom du groupe ou ID du groupe qui sera utilisé lors de l’accès au module.
address
(par défaut : #f)Adresse IP sur laquelle webssh
écoute les connexions entrantes.
port
(par défaut : 8888)Port TCP sur lequel webssh
écoute les connexions entrantes.
policy
(par défaut : #f)Politique de connexion. La politique de reject nécessite de spécifier known-hosts.
known-hosts
(par défaut : ’())Liste des hôtes qui ont permis une connexion SSH à partir de
webssh
.
log-file
(par défaut : "/var/log/webssh.log"
)Nom du fichier où rsync
écrit son fichier de journal.
log-level
(par défaut : #f)Niveau d’enregistrement.
Cette variable contient une chaîne de caractères à utiliser dans
/etc/hosts (voir Host Names dans The GNU C Library Reference
Manual). Chaque ligne contient une entrée qui fait correspondre les noms
des serveurs connus du service en ligne Facebook — p. ex.
www.facebook.com
— à l’hôte local — 127.0.0.1
ou son
équivalent en IPv6, ::1
.
Cette variable est typiquement utilisée dans le champ hosts-file
d’une déclaration operating-system
(voir /etc/hosts) :
(use-modules (gnu) (guix)) (operating-system (host-name "mamachine") ;; ... (hosts-file ;; Crée un fichier /etc/hosts avec des alias pour « localhost » ;; et « mamachine », ainsi que pour les serveurs de Facebook. (plain-file "hosts" (string-append (local-host-aliases host-name) %facebook-host-aliases))))
Ce mécanisme peut éviter que des programmes qui tournent localement, comme des navigateurs Web, ne se connectent à Facebook.
Le module (gnu services avahi)
fourni la définition suivante.
C’est le service qui lance avahi-daemon
, un service système qui
répond aux requêtes mDNS/DNS-SD qui permet la découverte de services et la
recherche de nom en « zéro configuration » (voir
https://avahi.org/). Sa valeur doit être un enregistrement
avahi-configuration
— voir plus bas.
Ce service étend le démon de cache de services de noms (nscd) pour qu’il
puisse résoudre les noms d’hôtes en .local
avec
nss-mdns. Voir Name Service Switch, pour plus d’informations sur la résolution des noms d’hôte.
En plus, cela ajoute le paquet avahi au profil du système pour que les
commandes comme avahi-browse
soient directement utilisables.
Type de données représentant la configuration d’Avahi.
host-name
(par défaut : #f
)Si la valeur n’est pas #f
, utilise cette valeur comme nom d’hôte à
publier pour la machine ; sinon, utilise le vrai nom d’hôte de la machine.
publish?
(par défaut : #t
)Lorsque la valeur est vraie, permet la publication sur le réseau (en diffusion) des noms d’hôtes et des services.
publish-workstation?
(par défaut : #t
)Lorsque la valeur est vraie, avahi-daemon
publie le nom d’hôte et
l’adresse IP de la machine via mDNS sur le réseau local. Pour voir les noms
d’hôtes publiés sur votre réseau local, vous pouvez lancer :
avahi-browse _workstation._tcp
wide-area?
(par défaut : #f
)Lorsque la valeur est vraie, DNS-SD sur DNS unicast est activé.
ipv4?
(par défaut : #t
)ipv6?
(par défaut : #t
)Ces champs déterminent s’il faut utiliser des socket IPv4/IPv6.
domains-to-browse
(par défaut : '()
)C’est la liste des domaines sur lesquels naviguer.
C’est le type du service Open vSwitch,
dont la valeur devrait être un objet openvswitch-configuration
.
Type de données représentant la configuration de Open vSwitch, un commutateur virtuel multiniveaux conçu pour rendre possible l’automatisation massive des réseaux avec des extensions programmables.
package
(par défaut : openvswitch)Objet de paquet de Open vSwitch.
Il s’agit du type de service du service PageKite, une solution de tunneling permettant de rendre les serveurs
locaux visibles au public, même derrière des pare-feu restrictifs ou du NAT
sans transfert de ports. La valeur pour ce type de service est un
enregistrement pagekite-configuration
.
Voici un exemple exposant les démons locaux HTTP et SSH :
(service pagekite-service-type
(pagekite-configuration
(kites '("http:@kitename:localhost:80:@kitesecret"
"raw/22:@kitename:localhost:22:@kitesecret"))
(extra-file "/etc/pagekite.rc")))
Type de données représentant la configuration de PageKite.
package
(par défaut : pagekite)Objet du paquet de PageKite.
kitename
(par défaut : #f
)Nom de PageKite pour l’authentification au serveur frontal.
kitesecret
(par défaut : #f
)Secret partagé pour s’authentifier auprès du serveur frontal. Vous devriez
probablement mettre cela dans extra-file
à la place.
frontend
(par défaut : #f
)Connectez-vous au serveur frontal nommé PageKite au lieu du service pagekite.net.
kites
(par défaut : '("http:@kitename:localhost:80:@kitesecret")
)Liste de services kites à utiliser. Expose HTTP sur le port 80 par
défaut. Le format est proto:nomdukite:hôte:port:secret
.
extra-file
(par défaut : #f
)Fichier de configuration supplémentaire à lire, que vous devez créer manuellement. Utilisez-le pour ajouter des options supplémentaires et gérer les secrets partagés hors bande.
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